Comprendre pour mieux agir
Parfois, un simple événement bouleverse notre vision du monde.
Voici le chemin qui m’a conduit à repenser l’hydratation.

Révélation
Un choc personnel qui a tout changé
Je m’appelle Jérémy, je suis ingénieur et originaire de Guadeloupe. En 2011, je quitte mon île pour m’installer en France métropolitaine, loin de ma famille, avec l’envie d’y construire mon avenir.
Tout se passe bien, jusqu’à ce que la vie me confronte brutalement à une réalité que je ne soupçonnais pas.
En l’espace de quelques mois, trois de mes amis perdent un parent à cause d’un cancer.
J’ai été profondément marqué par ces drames. Loin des miens, une pensée m’a hanté : et si c’était ma famille ?
Au fil des discussions, j’ai cherché à comprendre. Pourquoi autant de cas ? Pourquoi ces maladies touchaient-elles des personnes de mon entourage ?
J’ai commencé à creuser. Et ce que j’ai découvert m’a glacé le sang.

Contamination
L’héritage toxique d’un pesticide oublié
En Guadeloupe et en Martinique, nos terres et nos eaux portent l’empreinte invisible d’un poison persistant : le chlordécone.
Ce pesticide, utilisé entre 1972 et 1993 dans les plantations de bananes, a été massivement épandu sur les sols.
Aujourd’hui encore, 90% des Guadeloupéens et Martiniquais sont contaminés, sans même le savoir.
Il s’infiltre partout : dans les sols, dans les rivières, dans la mer.
Ses effets sont terribles :
- Un des taux de cancer de la prostate les plus élevés au monde.
- Un impact sur le système nerveux, le développement du fœtus et l’équilibre hormonal.
- Un poison qui se transmet de génération en génération.

Prise de conscience
Une remise en question profonde
J’ai grandi avec une insouciance commune à beaucoup d’entre nous : on boit de l’eau sans se poser de questions.
On nous dit qu’elle est potable, alors on la consomme.
On nous dit qu’elle est essentielle à la vie, alors on ne réfléchit pas à sa qualité.
Mais j’ai réalisé à quel point l’eau peut être à la fois une source de vie et une menace invisible.
Boire une eau contaminée, c’est exposer son corps à des substances toxiques sans même s’en rendre compte.
Ne pas boire assez d’eau, c’est affaiblir son corps, son esprit, sa concentration.
Nous buvons tous les jours. Mais buvons-nous vraiment bien ?

Recherche
Quand comprendre mène à agir
Cette prise de conscience ne m’a plus jamais quitté. Je me suis posé mille questions.
Comment s’assurer que l’eau que l’on boit est réellement pure ?
Pourquoi ne parle-t-on jamais de l’impact de l’eau sur notre santé mentale et physique ?
Pourquoi accorde-t-on si peu d’attention à quelque chose d’aussi vital ?
Je me suis intéressé aux différentes méthodes de purification. Et plus j’apprenais, plus je réalisais à quel point nous sommes déconnectés d’une chose aussi simple et essentielle que l’eau.

Engagement
Ce que je veux transmettre
Aujourd’hui, je ne peux plus voir l’eau comme avant. Je veux que chacun prenne conscience de son importance.
Que nous ne la considérions plus comme un simple geste quotidien, mais comme un véritable pilier de notre bien-être.
Nous vivons dans un monde où l’information circule à une vitesse folle, où nous cherchons sans cesse à optimiser notre alimentation, notre sommeil, notre productivité... mais où nous oublions l’essentiel : l’eau que nous buvons.
Mon objectif est simple : réapprendre à boire intelligemment. Faire de l’hydratation un rituel conscient et sain.
L’eau n’est pas un détail.
C’est la base de tout.